LE LOOK DU MOIS AVEC JAY CHEVERY
Pour tous ceux qui sont nés dans les années 80, la salopette a certainement fait partie de votre garde-robe. On pouvait faire tout ce que l’on voulait avec notre salopette en jean puisqu’elle était pratiquement indestructible. Mais, vers la fin des années 90, on l’a vue disparaître pour tomber dans la catégorie « faux pas vestimentaires », et ce, pour près de deux décennies. Pourtant, plusieurs styles intéressants peuvent être créés avec les différents modèles que l’on trouve, des plus décontractés aux plus urbains.
Ce mois-ci, Jay cherchait une activité intérieure à faire lors des journées instables que nous offre le printemps : tantôt du soleil, tantôt de la pluie, et comme on l’a vu récemment, la neige peut toujours nous surprendre. Son choix s’est arrêté sur le 1000, de la Gauchetière, le plus haut gratte-ciel sur l'île de Montréal, pour sa patinoire intérieure qui est ouverte à l’année, histoire de retomber en enfance pour quelques heures. Avant d’enfiler ses patins, Jay portait les espadrilles STENTORIAN composées de denim et de cuir synthétiques pour lui offrir le confort, mais aussi une allure décontractée, tout en lui permettant d’être pleinement actif.
Cette saison, les motifs sont très présents, et nous vous encourageons grandement à les agencer, mais avec une certaine touche d’audace, soit avec le même motif dans des couleurs différentes ou avec des motifs différents dans les mêmes couleurs. Pour notre look du mois, nous avons choisi le ligné, qui est de retour en grande force autant chez l’homme que chez la femme, en mélangeant des rayures très larges à l’horizontale et extrêmement fines à la verticale, et ce, dans les mêmes teintes. Et puisque l’ensemble peut enlever un peu de sérieux à l’homme, et que Jay se trouvait au centre-ville, le trenchcoat était de mise pour ses déplacements : il lui donne une touche de sérieux, et nous aimons le mélange des styles, tout simplement.
Êtes-vous prêts à jouer avec les motifs?
Texte et style : Audrée Bellehumeur
Linguistique et traduction : Arielle Desabysses
Modèle : Jay Chevery
Photographe : Samuel Bibeau